L’acteur de X-Men : Le Commencement et de Prometheus serait le premier à rejoindre le projet visant à adapter le jeu vidéo d’Ubisoft.
Il y a un peu plus d’un an naissait Ubisoft Motion Pictures, nouvelle filiale de l’éditeur français chargée de faciliter le développement au cinéma des licences juteuses que sont Assassin’s Creed, Splinter Cell ou Ghost Recon. En octobre dernier, nous apprenions que c’était Sony Pictures qui avait signé le plus gros chèque pour acquérir les droits d’adaptation de l’actuelle série fer de lance d’Ubi.
Bien que plusieurs analystes laissaient entendre que nous ne verrions pas le projet concrétisé en raison de l’importance jugée excessive de l’éditeur dans la production, voilà que Variety lâche une bombe : Michael Fassbender aurait été non seulement approché pour servir de tête d’affiche, mais en plus qu’il était le choix numéro 1. Jean-Julien Baronnet, grand gourou d’Ubisoft Motion Pictures, déclare que « Michael Fassbender est un acteur extrêmement intelligent, talentueux, versatile et engagé. » Oui, rien que ça.
S’il est possible qu’Ubisoft et Sony aient du mal à trouver un compromis, cela n’empêche pas le premier d’aller de l’avant, comme un grand. Il se dit même que Sony pourrait se contenter de la distribution, laissant à UMP la mainmise sur l’ambitieux projet et le devoir de trouver et un scénariste, et un metteur en scène.
Ou pas : « Nous pourrons rediscuter du projet avec les studios clés une fois que le package sera finalisé » rajoute Baronnet. « Quel que soit le modèle économique, UMP limitera les risques financiers » ; notamment en utilisant les compétences de ses studios internes et filiales. (Ubisoft en compte 26, notamment la société Hybride qui est à l’origine des effets visuels de 300 et du court-métrage Assassin’s Creed : Lineage.)
Il reste donc du boulot… mais rien ne nous empêche de spéculer. Si le premier long-métrage s’inspire logiquement du premier jeu, on pourrait donc voir Fassbender incarner un Altaïr plutôt convaincant, ou un Desmond sans doute plus vieux que dans le soft.
Joseph Gordon-Levitt et Bruce Willis réunis comme on ne s'y attendait pas.
D'après Stephenie Meyer.