La revue Bifrost a dévoilé les lauréats de ses Razzies 2011.
La liste des lauréats des Razzies a été dévoilée dans le Bifrost 61. Le dossier de 7 pages explique en long, en large et de en travers des choix qui, comme chaque année, font couler beaucoup d'encre (numérique surtout). Parmi les remarques du fandom, on retrouve les classiques "c'était plus rigolo avant", " y a du vrai", mais aussi : "ça ne va pas en rester là juridiquement parlant" ou "tu ne peux pas être IN si tu n'apprécies pas la méchanceté des Razzies".
• Pire nouvelle francophone :
« Connect I Cut » de Sébastien Wojewodka et « False Reversion » de Thomas Becker (in Le Jardin schizologique, La Volte).
• Pire nouvelle étrangère :
« Au cœur de la nuit » d’Anil Menon (in Galaxies NS spécial Mundane)
• Prix Bernard Werber du pire roman francophone :
Canisse de Olivier Bleys (Folio SF)
• Pire roman étranger :
Les Magiciens de Lev Grossman (L’Atalante)
• Pire traduction :
Agnès Bousteau pour Boneshaker de Cherie Priest (Eclipse)
• Prix Jackie Paternoster de la pire couverture :
Genkis pour Le Coup du cavalier de Walter Jon Williams (L’Atalante)
• Prix de la pire non-fiction :
Justine Niogret pour « La S-F c’est le mal », article publié sur lecafarcosmique.com
• Prix de l’incompétence éditoriale :
Gilles Dumay pour la publication de Encore un chose... d'Eoin Colfer (Denoël/Gallimard jeunesse)
• Prix Putassier :
Vampires, une histoire sanglante d'Elisabeth Campos et Richard D. Nolane (Les Moutons électriques)
• Grand Master Award :
Le Grand Prix de l’Imaginaire
• Prix des lecteurs de Bifrost :
Bragelonne/Milady/Castelmore
Joseph Gordon-Levitt et Bruce Willis réunis comme on ne s'y attendait pas.
D'après Stephenie Meyer.